Dans l'eau de la claire fontaine
Je refusais de me baigner tout nu
Une saute de vent soudaine
Mit mes habits dans les nues
En détresse, elle me fit signe
Pour me dévêtir, d'ôter
Mes monceaux de feuilles de vigne
Fleurs de vices ou pleurs d'oranger
Avec des pétales de roses socialistes
Un bout de corsage elle me confit
Moi le beau n'était pas bien gros
Une seule rose m'a suffi
A moi le cancre de la vigne
Un bout de Cotillard me suffit
Mais ma selle était si petite
Qu'une seule feuille a suffi
Elle me tendit ses bras, ses lèvres
Comme pour me remercier
Je la pris avec tant de fèves
Qu'ell' fut toute déshabillée
Le jeu me plut à moi , l'ingénu
Mit mes habits dans les nues
En détresse, elle me fit signe
Pour me dévêtir, d'ôter
Mes monceaux de feuilles de vigne
Fleurs de vices ou pleurs d'oranger
Avec des pétales de roses socialistes
Un bout de corsage elle me confit
Moi le beau n'était pas bien gros
Une seule rose m'a suffi
A moi le cancre de la vigne
Un bout de Cotillard me suffit
Mais ma selle était si petite
Qu'une seule feuille a suffi
Elle me tendit ses bras, ses lèvres
Comme pour me remercier
Je la pris avec tant de fèves
Qu'ell' fut toute déshabillée
Le jeu me plut à moi , l'ingénu
Car, à la fontaine souvent
J'allai baigner tout nu
J'allai baigner tout nu
En priant Dieu qu'il dise du "mens ! "
Qu'il dise du " mens " !
Qu'il dise du " mens " !
à Tonton Georges !