dimanche 2 août 2009

Hymne à Clopine







N'oubliez jamais
Clopine
Que notre monde
Part à vos lots

Alors préparez-vous !
Vos chats docs ou pas
Sont aux j'aboie ,
Ne les décevez pas
Mais je vous fais confiance !

Mère Proustée
Par des lectures subliminales
De mâle propre ,
Vos attributs
Combleront vos sujets ,
Je le sais !

( à suivre ! )

5 commentaires:

JEA a dit…

Elle fut plutôt clopin et clopant ces derniers temps. Mais comme le répétait un premier ministre sautant fréquemment les palissades : plus la pente est ardue, plus la descente sera libératrice...

Cactus , ciné-chineur a dit…

et oui , ainsiç va la vie
ainsi va l'avis !

sinon que d'hymnes que d'hymnes
trompettes de la renommée !
son coup'âge de Gordon nombrilical loin de Sophie m'a comblé , même en deuxième lecture !
la loi , me direz-vous , est de bon aloi !
ELLE sait décrire , notre Clopine nationale , et pas que pour ses Pâques : mettre ainsi à nu un presque jazzman de presque 40 ans d'âge , mûr ( aurait dit Sartre ou Camus ) et toujours pas de bouteille !
sinon je bourlingue , un peu ma suite chez Zoë , avec Louis Ferdinand !
sinon je me demande parfois si ce sera vous mon dernier comment'acteur après mes derniers soupirs d'aise malaise , Blaise ou pas ! en ce cas là , je veux non point un jeu de maux mais un vrai jeu avec les mots voire les mailles , ok , JEA/JEA et de la joie , de la joie et beaucoup de filles virtuelles m^^eme vers tueuses !
bon dimanche d'Aout !

Cactus , ciné-chineur a dit…

même !
ainsi !!
fichue petite frappe moi !!!

Cactus , ciné-chineur a dit…

puisque photos prises à Saint-Rémy où il s'enferma , allez , un chti , Ferré :
"La chaise de Van Gogh où tu ne t'assieds pas
Les souliers de Vincent que tu ne chausses pas
L'oreille de ce mec qui ne t'écoute plus
Ces corbeaux dans le blé d'une toile perdue
Je ne m'arrête plus quand je vois la folie
Je fais ses commissions et couche dans son lit
Les larmes de cet arbre inquiet dans la forêt
La chaise de Vincent de quel bois elle était ?
Les moutons de la rue se cachent en cache-nez
Les ouvriers changent de disque sans débrayer
Je ne m'arrête plus quand je vois la folie
Je fais ses commissions et couche dans son lit
Les pas de cette enfant dans l'enfer de la Fac
Son sexe sa vertu sa pilule et son trac
Quand le vertige la pénètre et la dépasse
Sous l'oeil double et glacé d'un vieux miroir de passe
C'est à ce moment-là que je perds la folie
Et que je reste seul avec mes yeux de fou..."

Cactus , ciné-chineur a dit…

correctif :
aujourd'hui ce serait plutôt " en l'enfer de la FNAC puis H et Aime " , non ?