jeudi 24 mai 2012

et maintenant le numéro 4 à Fukushima , réservoir dogs ?!

J'annonce ici à l'avance qu'on va à la cata cet été ou après : il va s'effondrer ( études sérieuses ) : puis réactions en chaines voire en chêne pour beaucoup ( 1.500.000 malades région de Tokio dont l'empereur , saignement de nez , sang dans urines en ce moment  etc ) ; on parle de déplacer plusieurs millions de personnes dans un pays voisin ex communiste ;  tout l'hémispère nord sera touché petit à petit !
désolé pour ces mauvaises nouvelles !
pourtant on devrait être contents d'être socialistes !
sinon n'oubliez pas d'aller voter car moins de votants il y aura  mieux ce sera pour l'UMP qui verra moins de triangulaires !


6 commentaires:

Cactus , ciné-chineur a dit…

http://www.lemonde.fr/japon/article/2012/05/24/les-fuites-radioactives-de-fukushima-plus-fortes-qu-annonce_1707040_1492975.html#xtor=RSS-3208

confirmé par Le Monde

Yola Le Douarin a dit…

On aimerait surtout pouvoir voir la vie en rose, mais non!

Anonyme a dit…

Jee VIP a dit: la seule fois où je me suis opposé à la CGT (et pourtant, j'y suis militant et j'en ai été un responsable local), c'est quand le syndicat avait manifesté contre la fermeture de Superphenix (à la clef l'argument factieux des suppressions d'emplois...). On va pas refaire le Monde, on est dans la merde nucléaire jusqu'au coup sans espoir d'emmerger... sauf à eveiller les consciences (et à changer de mode de vie). Petit extrait édifiant d'un Post "dissident" anti-nucléaire, et c'est pas du cinéma de catastrophisme...:
Quels sont les principaux risques nucléaires ?

Les accidents représentent la première dangerosité. Ils peuvent avoir plusieurs causes : la négligence humaine, l'attentat terroriste, la catastrophe naturelle, comme à Fukushima. Le calcul de la probabilité de survenue d'un accident nucléaire n'est en réalité que le calcul des facteurs de risque, ce qui veut donc dire que l'on ne peut pas prévoir l'accident, lequel, par définition, surviendra à un endroit et à un moment que l'on n'avait pas prévus. Le danger pour le corps humain est également gravissime. Les radionucléides pénètrent dans tous les organes. Là aussi, les institutions internationales, comme l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), qui marchent main dans la main, nous noient dans un océan de calculs. Après l'accident de Tchernobyl, ils ont relevé les seuils de radioactivité que les individus pouvaient recevoir. C'est affreux. Au lieu d'admettre qu'ils ne pouvaient pas gérer la situation, ils ont augmenté les seuils de supportabilité humaine

Et troisième risque, la contamination radioactive, chronique et accumulative. À la différence de la fumée, qui s'évapore dans l'air, la radioactivité, elle, ne disparaît jamais totalement. Elle s'éparpille. Même si l'activité nucléaire mondiale s'arrêtait aujourd'hui, nous sommes condamnés à vivre dans un environnement virtuellement mutagène. L'irradiation radioactive est une pollution. Et nous sommes dans une inertie polluante. Le véritable problème est cette acceptation de l'irradiation chronique, car on est en train de transformer la notion d'accident : il devient un simple aléa du nucléaire. On le dédramatise, à l'instar de ce qui est fait avec les effets des faibles doses. Pour preuve, on ne parle déjà plus aujourd'hui de Fukushima, alors que Tchernobyl, en son temps, était une catastrophe effroyable.

Anonyme a dit…

Sorry... "dans le cou"! Mais pour le coup, on comprend très bien... Féru et amateur de jeux de mots, mais là c'est involontaire...

Anonyme a dit…

J'ajoute (et j'en aurai fini pour today) que l'extrait de l'article posté date de novembre 2011. Il est hélas d'actualité (et le sera pour 50 000 ans encore).

Zoë Lucider a dit…

Ce n'est pas une nouvelle pour ceux qui sont informés et vigilants et hélas, ça reste toujours inconnu du grand public